Bon recopiage bis
Le joli résumé qui va bien fait pas de super auteur sérieux et traduit par mes soins, au moins j'en apprend encore plus
"Jamais avant la guerre, la question tant controversée a été discutée quand auquel les blindés de la Wehrmacht étaient les plus raffinées et les plus puissants de tous. C’est dans ce contexte que les Panther et Tigre ont été appelés ainsi. Tellement souvent, aucune décision absolue favorisant l’un ou l’autre ne peut être prise ici. Le Panther présente la particularité réussi de combiner tous les 3 paramètre : puissance de feu, mobilité, et blindage. Pour cette période, il était très mobile, bien blindé (le blindage incliné qui dévie les obus) et armé avec un canon de 7.5cm très performant en rôle antichar.
Quand au Tigre II, la puissance de feu supérieur avec le 8.8cm L/71, et le blindage plus lourd peuvent être cités. Naturellement, il a été payé par une grande augmentation du poids global alors qu’il conservait le même puissance du moteur (le même équipant le Panther). Cette hausse de poids lui cause de sérieux problèmes au combat, et spécialement des les composant de fonctionnement de vitesse, ce qui a causé beaucoup de pannes et de plus grand efforts. Comme avec le Panther, les panneaux latéraux du Tigre II étaient les points faibles et ont été redessinés en cours de fabrications et les blindés existants ont été rééquipés en conséquence. En supplément, les bras d’oscillation tendu sont pliés. Ceux-ci et le manque de fermeté des roues de route en bandages caoutchouc provoquent un déplacement de la position angulaire et axiale. Ceci alternativement influencerait la course des maillons de chenilles. Les liens eux-mêmes étaient soumis à une pression interne considérable, ce qui faisait de faire plier les boulons des liens.
En grand nombre de pannes mécaniques en résultèrent. Tous en tout, le poids d’exécution du Tigre II était très bas. La mobilité tactique a été décisivement diminuée en raison de la haute consommation en carburant causé par le poids du véhicule.
Ainsi la grand force du Tigre II est son blindage, ce qui l’a immunisé face à tout les obus qui peuvent le toucher. En fait, seulement un petit nombre de Tigre II furent victimes directes des actions ennemies. Une accablante majorité de ceux ci ont été abandonné et/ou abandonné par leurs équipages – parce que ils étaient immobilisés. Le Tigre II a directement apporté sa force pour soutenir quelques situations tactiques où les tanks ennemis étaient supérieur numériquement pour les éliminés, ou quand la décision devait être forcée rapidement à un point précis. Le Panther était meilleur pour les opérations à grande échelle ou rapide.
Au terme de ce concept de design, la puissance de feu (qui ont alors été divisés trop souvent) ; une meilleure solution aurait été de combinés les chars lourd avec des unités de blindés légers plus mobiles (par exemple, une compagnie lourde dans un régiment de chars)
Parce que beaucoup plus de ceux ci existait, le Panther avait une valeur particulière dans les Panzer truppen ; le Tigre excellait dans les duels char contre char et dans les nombreuses situations critiques des dernières années de la guerre.
Ainsi la signifiance tactiques de ces 2 blindés était très grande, mais la réputation légendaire de Tigre II était originaire des troupes des équipages de blindés ou des équipes de canons antichar, qui ont reconnu leurs propre infériorité, ou il prenait leurs chance face à ce colosse à courte portée. On ne devrait pas négliger considérablement que la production du Tigre étaient considérablement coûteuse en main d’œuvre et matière première, et que leur but au-delà du Panther II d’établit un char de bataille simple. Comme il est bon de savoir, la fin de la guerre a mis fin au dualisme régnant chez les blindés. Il devrait également être mentionné que la capacité portant des routes et des secteurs transnationaux, et en particulier la plupart des ponts à ce moment là, ont été désespérément surchargés.
Ainsi le rôle technologique était d’évaluer plus fortement à la fin sa valeur réelle au combat."
A+, François-Julien